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Quel système économique choisir ?

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18062005

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http://babelfish.altavista.com/babelfish/trurl_pagecontent?lp=en_fr&trurl=http%3a%2f%2fen.wikipedia.org%2fwiki%2fPlanned_economy

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Que penseriez-vous d'un passage vers une planification ?


Dernière édition par le Mar 24 Avr 2007 - 11:06, édité 1 fois
Sandra
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Quel système économique choisir ? :: Commentaires

Message Dim 14 Mai 2006 - 14:05  Sandra

Certains affirment que le taux de chômage est le premier indicateur dont il faille tenir compte pour comparer les qualités des divers modèles économiques choisis entre plusieurs nations.

Parfait !

Alors, prenons les au mot ...

Argentina 25% en 2001
Australia 6.7% en 2001
Belarus 2.1% en 2000
Cambodia 2.8% en 1999
Chile 10.1% en 2001
Cuba 4.1% en 2001
France 8.9% en 2001
India 4.4% en 1999
Laos 5.7% en 1997
Russia 8.7% en 2001
Spain 13% en 2001
Sweden 3.9% en 2001
United Kingdom 5.1% en 2001
United States 5% en 2001

http://www.achats-industriels.com/Fiches_pays/chomage.asp

Ainsi, selon leurs taux de chômages respectifs, classons maintenant cette liste de nations en fonction de la qualité de leur modèle économique choisi :

Belarus
Cambodia
Sweden
Cuba
United States
United Kingdom
Laos
Australia
Russia
France
Chile
Spain
Argentina

Et voici le résultat ... Selon le strict critère utilisé pour affirmer que l'économie de la Grande Bretagne (United Kingstom) est meilleure que celle de la France.

Personnellement, je considère ce classement très critiquable pour beaucoup d'autres critères.
Mais !
Lorsque l'on précise que la Grande Bretagne possède un taux de pauvreté plus important que celui de la France, une plus grande précarité et un pouvoir d'achat plus faible etc. L'on répond parfois : Ah oui ... Mais, La Grande Bretagne possède un taux de chômage plus bas !

Il serait donc logique que les tenants du taux de chômage comme indicateur suprême considèrent ce classement de nations étant beaucoup moins critiquable que moi. (Et ne tienne pas compte de l'argument selon lequel cet indicateur n'a pas la même signification dans un modèle libéral que dans un autre moins dérégulé ... )

Koulip

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tell

Message Mar 16 Mai 2006 - 10:10  tell

Le travail, même lorsque ce n'est peut-être pas * the super job * permet à une personne de se sentir utile, intégrée et faire partie de la société. A mon avis, c'est ce qui est le plus important pour la dimension sociale de l'individu.

En outre, les pays dits libéraux (US/GB en tête) dans lesquels on accepte socialement que des jobs ne sont pas tous le * super job *, sont également les pays dans lesquels l'ascenseur social fonctionne (par exemple, c'est du "rêve" américain dont on parle). Obtenir un job, même lorsqu'on est au sous-sol, c'est entrer dans l'ascenseur et avoir la possibilité de monter. Garder quelqu'un au rez parce qu'on décide pour lui que commencer au sous-sol est "indigne" pour lui, alors même que c'est le seul endroit qui lui est professionnellement accessible, l'empêche de mettre les pieds dans l'ascenseur. C'est condamner la personne dans l'inactivité et l'assistanat soi-disant pour sauvegarder sa "dignité". A mon avis, à moyen/long terme ce n'est pas lui rendre service.

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Sandra

Message Mer 28 Juin 2006 - 16:41  Sandra

L'économie de marché est un système reposant sur l'investissement de capitaux dans des activités commerciales afin d'en dégager des bénéfices financiers.
Le marché, lieu de rencontre entre l'offre et la demande, dont les jeux sont laissés libres dans ce système permet aux capitaux utilisés de faire se réaliser les opérations économiques.
Ainsi, l'économie de marché est également nommée capitalisme.

Tout en conservant la nature fondamentale de ce modèle, l'état peut plus ou moins réguler.
Le keynésianisme est un exemple de capitalisme régulé.

Le libéralisme économique est la forme pas même régulée du capitalisme.



L'économie planifiée consiste à atteindre des objectifs par le moyen, comme son nom l'indique, de la réalisation de plans.
Il s'agit donc de mettre en oeuvre les activités de production selon ces objectifs.
L'économie ne vise aucunement en une gestion de capitaux.
Certes, l'économie planifiée fonctionne tout de même avec une monnaie mais celle-ci reste fiduciaire et son rôle est purement comptable pour mesurer les valeurs des échanges entre les entreprises.

L'économie planifiée n'est pas une forme de capitalisme. Celle-ci n'est pas une économie de marché.



" ... Pour Lénine : "Nous sommes stupides et faibles ; nous avons pris l'habitude de nous dire que le socialisme est un bien et le capitalisme un mal. Mais le capitalisme n'est un mal que par rapport au socialisme ; par rapport au Moyen-Âge où s'attarde la Russie, le capitalisme est un bien !". ... "

http://perso.wanadoo.fr/bac-es/higeo/ph_urss_1917_1941_04.html

Loin d’identifier capitalisme et socialisme, Lénine les tient explicitement comme deux modèles distinct ayant ainsi chacun leur propre nature.



" ... La Nouvelle Politique Économique (ou NEP, en russe : Novaja Ekonomiceskaja Politika) est une politique économique mise en œuvre en Russie puis en URSS à partir 1921 qui introduit une relative libéralisation économique. La NEP a été créée pour redynamiser le pays qui, en 1921, sortait d'une guerre mondiale, d'une révolution, d'une guerre civile et d'une famine. C'est une décision imposée par les circonstances, un « repli stratégique » dans la construction du socialisme justifié par le retard économique de la Russie. « […] nous ne sommes pas assez civilisés pour pouvoir passer directement au socialisme, encore que nous en ayons les prémisses politiques » déclara Lénine [1]. Bien qu'il s'agisse de « faire au capitalisme une place limitée pour un temps limité », Lénine n'avait toujours pas fixé de limites dans le temps à la NEP lors de sa mort en 1924. ...

... Pour l’internationaliste Lénine, « la victoire totale de la révolution socialiste est impensable dans un seul pays » et « elle exige la collaboration la plus active d’au moins quelque pays avancés, au nombre desquels nous ne pouvons pas ranger la Russie » ...

... La stratégie choisie est donc le capitalisme d’État pour l’industrie et le capitalisme privé pour la petite production paysanne. C’est l’essence de la Nouvelle Politique Économique. ...

... La NEP était généralement vue comme une mesure temporaire, et s’avéra fortement impopulaire parmi certains marxistes du Parti bolchevik à cause de ses compromis avec certains éléments capitalistes. Ils voyaient la NEP comme une trahison des principes communistes, et ils croyaient qu’elle aurait un effet négatif à long terme, ils réclamèrent donc une économie entièrement planifiée à la place. ... "

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_politique_%C3%A9conomique

Dans ce texte, là encore, sans ambiguïté, capitalisme d’une part et socialisme ainsi que planification d’autre part sont clairement distingués en modèles économiques différents.

Voici une citation de lénine de vers la fin de la première guerre mondiale :
« … Notre devoir est de nous mettre à l'école du capitalisme d'État des Allemands, de nous appliquer de tous nos forces à l'assimiler, de ne pas ménager les procédés dictatoriaux pour l'implanter en Russie. … »

Lénine présente ici le projet d’instauration de la NEP vis-à-vis de laquelle la future planification sera une rupture avec la nature capitaliste.

Nota Bene : Ici, le terme « dictature » est une terminologie à ne pas confondre avec son acceptation courante actuelle. Le document suivant le montre parfaitement.



« … Déjà à l'époque, Lénine mettait en avant la question agraire comme le problème central de la révolution démocratique en Russie. « Le nœud de la révolution russe, répétait-il, c’est la question agraire (de la terre). Il faut conclure à la défaite ou à la victoire de la révolution... selon la manière dont on apprécie la situation des masses dans la lutte pour la terre. »

A l’idée de Plekhanov d’une alliance du prolétariat avec la bourgeoisie libérale, Lénine opposait l’idée d’une alliance du prolétariat avec la paysannerie. Il proclamait que la tâche de la collaboration révolutionnaire de ces deux classes était d’établir une « dictature démocratique » comme le seul moyen de purger radicalement la Russie du bric-à-brac féodal, de créer une couche de petits cultivateurs libres et d’ouvrir la voie au développement du capitalisme, non pas à la manière prussienne, mais américaine. La victoire de la révolution, écrivait-il, ne peut être accomplie que « par la dictature, parce que la réalisation des réformes qui sont immédiatement et absolument nécessaires au prolétariat et à la paysannerie provoquera une résistance désespérée chez les propriétaires fonciers, les grands bourgeois et le tsarisme. Sans dictature, il est impossible de briser cette résistance, de repousser les tentatives contre-révolutionnaires. Ce sera, bien entendu, une dictature, non pas socialiste, mais démocratique. Elle ne pourra porter atteinte aux fondements du capitalisme (sans toute une série d’étapes intermédiaires dans le développement révolutionnaire). Elle pourra, dans le meilleur des cas, introduire une redistribution radicale de la propriété foncière en faveur de la paysannerie, établir une démocratie conséquente et complète allant jusqu’à la république, extirper tous les traits asiatiques, tout le legs du servage, non seulement au village, mais aussi dans les usines, poser la base d’une amélioration sérieuse de la situation des ouvriers et de l’élévation de leur niveau de vie ; enfin, porter la conflagration [ l'embrasement] révolutionnaire en Europe. »

Le cours des évènements confirma l’analyse de Lénine. En dépit des meilleurs espoirs des mencheviks, la bourgeoisie trouvait de plus en plus que sa mission historique était de lutter contre la révolution.

C'est dans les « soviets », c’est-à-dire les assemblées de délégués démocratiquement élus et révocables à tout instant comprenant les travailleurs, les soldats et les paysans pauvres que les bolcheviks devinrent majoritaires. … »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bolchevik

L’association des termes « dictature » et « démocratie » ensemble témoigne bien de leur appartenance à une terminologie spécifique, dans le contexte des textes cités.



« Le New Deal (Nouvelle donne) est le nom de la politique interventionniste mise en place à l’instigation du président américain Franklin Delano Roosevelt pour lutter contre la crise économique de 1929. …

… Le New Deal constitue donc une première expérience d'État-providence aux États-Unis. …

… Le 24 octobre 1929, le krach de la bourse de New York, connu sous le nom de "jeudi noir", a des conséquences dans le monde entier. …

… Voyant que l’URSS de Staline échappait à la crise, beaucoup pensaient devoir planifier l’économie pour sortir du marasme, y compris en Amérique. …

… Dans les années 1960, la nouvelle gauche américaine s’est révélée très critique envers la politique de Roosevelt : Barton J. Bernstein, en 1968, fait la liste des opportunités ratées et des solutions inadéquates aux problèmes économiques et sociaux des années 1930. Paul K. Conkin dans The New Deal (1967) dénonce une politique favorable aux patrons. Howard Zinn, dans un essai de 1966, reproche au New Deal d’avoir préservé le capitalisme aux Etats-Unis. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/New_Deal

« … pensaient devoir planifier l’économie … reproche au New Deal d’avoir préservé le capitalisme aux Etats-Unis. … »
Ici aussi, capitalisme et planification sont distingués.




J’insiste donc bien sur le fait que la planification n’est en rien du capitalisme nommé aussi économie de marché.

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Sandra

Message Mer 25 Oct 2006 - 14:56  Sandra

Dans une économie fondée sur le marché libre et non faussée, chaque entrepreneur décide seul de ses objectifs de production ainsi que des moyens pour les réaliser et tout client décide seul de lui acheter dans les quantités qu'il veut.
C'est dans ces conditions que les jeux du marché déterminent la nature et le volume de chaque production.

La limitation ne peut provenir que d'une régulation. Il s'agit donc bien d'une question de modèle économique.

La diminution des quantités d'aliments animaux produits et l'augmentation rééquilibrante de celles d'aliments végétaux est un objectif économique ne pouvant se trouver assuré que par une planification.



D'autre part, diminuer les rejets de gaz à effet de serre tout en conservant la croissance économique supposerait une conversion très importante des productions de biens matériels en productions de services ainsi qu'une amélioration considérable des rendements puissance/alimentation des machines.

C'est mathématiquement évidemment envisageable mais concrètement impossible.

Les diminutions des rejets de gaz à effet de serre impliquent non pas le maintien de la consommation d'énergie fossile mais sa nette décroissance, sachant en plus qu'il faille partager la possibilité de produire avec tous les pays du monde dont la Chine et l'Inde.

Une décroissance économique s'impose. C'est un objectif incontournable.
Une planification s'en trouve le moyen.

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Sandra

Message Jeu 9 Nov 2006 - 15:38  Sandra

Le capitalisme implique déjà le libéralisme économique dans la mesure où les investisseurs de capitaux s'y trouvent libres d'agir économiquement selon leurs objectifs propres.
La volonté collective peut néanmoins s'exprimer et peser par la voie démocratique. Les régulations économiques restent possibles.

Plus le champ de compétence collectif est minimisé et plus le libéralisme économique en est maximisé.
L'on peut considérer un caractère libéral, un libéralisme prononcé, un ultralibéralisme voire un libéralisme absolu ou des mises en œuvre intermédiaires.
L'un des seuils particulièrement marqués de son application correspond à la restriction des pouvoirs démocratiques aux seuls prérogatives régaliennes que sont la défense, la justice et la police.

Les pouvoirs judiciaires, législatifs et exécutifs existant encore, un libéralisme économique même particulièrement poussé ne s'oppose pas à l’éventualité d'une législature développée et très orientée politiquement.
Celle-ci conserve ainsi la possibilité d’être nationaliste, raciste, ségrégationniste, antisémite, conservatrice, isolationniste, fasciste, c’est à dire socialement ou religieusement antilibérale.
Des références théologiques peuvent de cette façon se trouver inscrites dans une constitution économiquement libérale.



Toutes les activités collectives peuvent légitimement relever du domaine public pour peu que l'état soit pleinement démocratique et que l'équilibre entre les pouvoirs et les principes de droit reste respecté.

Les activités économiques peuvent notamment s'inscrirent dans le champ démocratique.
Les compétences légitimes de l'état sont alors maximisés c'est-à-dire le libéralisme économique minimisé.

Cela est totalement compatible et synergique avec la laïcité, l'émancipation féminine ou tout autre droit individuel ou collectif.

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Anonymous

Message Mar 24 Avr 2007 - 23:09  Invité

UNe nouvelle économie: l'économie de marché régulée.

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Sandra

Message Mer 25 Avr 2007 - 0:12  Sandra

Les entreprises multinationales utilisent beaucoup les méthodes de planification économique.

L'intérêt pour la démocratie de la régulation est qu'elles deux soient couplées. Or les citoyens n'élisent pas les comités de direction des entreprisent ...

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Anonymous

Message Mer 25 Avr 2007 - 21:39  Invité

Sandra a écrit:Les entreprises multinationales utilisent beaucoup les méthodes de planification économique.

L'intérêt pour la démocratie de la régulation est qu'elles deux soient couplées. Or les citoyens n'élisent pas les comités de direction des entreprisent ...

Economie de marché régulée ne veut pas dire contrôle des entreprises mais régulation de l'économie. Les entreprises restent libres seul des règles de délocalisations doivent être appliquées et également des taxes à l'importations sur les différents produits n'ayant pas été produits d'une manière intégrant le developpement durable, réchauffement climatique et certaines règles éthiques de production.
Taxe réinjectées dans la société (services) et le reboursement de la dette, c'est l'économie au service de la société et des citoyens.

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Sandra

Message Mer 25 Avr 2007 - 23:00  Sandra

Une régulation économique implique un contrôle des objectifs de production.
Tu restes vague dans tes explications.

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Anonymous

Message Mar 1 Mai 2007 - 11:49  Invité

Sandra a écrit:Une régulation économique implique un contrôle des objectifs de production.
Tu restes vague dans tes explications.

C'est un retour à une économie d'état que tu sembles expliquer dans tes messages. L'URSS (que tu n'as pas connue car trop jeune mais crois moi ce n'était pas le paradis de vivre là bas) et d'autres pays communistes ont fait les mêmes erreurs.
Une entreprise doit avoir une certaine liberté et l'économie ne peut être planifiée dans ce cas. C'est également un remise en cause de la liberté d'entreprendre.
Mais je suis d'accord avec toi sur certains points car l'économie doit servir à la société et à ces citoyens.
Ce qui pose problème actuellement c'est la guerre économique mondiale qu'est actuellement la mondialisation et l'absence de règles dans cette économie. Egalement la main mise de groupes financiers sur les économies de pays de ce monde pour cause de surendettement.
Donc l'économie de marché n'est pas mauvaise en elle même c'est la façon que nous l'utilisont, disont plutôt que d'autres l'utilisent à leur profit.
Sans règles c'est l'anarchie et la loi du plus fort et c'est ce qui arrive à l'économie mondiale actuellement.
Donc voilà ce que je propose:
L'économie de marché régulée est au service de la société sans restreindre la liberté d'entreprendre (sauf au niveau des délocalisations abusives) et de monter son entreprise et de faire des bénéfices.
Simplement prendre l'argent où elle se trouve et d'une manière indirecte et ne restreingnant pas l'activité de l'entreprise. Egalement redonner aux pays de ce monde la maitrise de leurs économies.
L’offre est la demande existe toujours (l’économie et le commerce existeront toujours)mais la demande à changée, elle moins consommatrice et plus en accord éthiquement. Egalement l’économie à changée, c’est à dire non ultra libérale mais régulée diverses règles et lois.
Egalement régulée par la taxation des produits d'importations non conformes aux règles de productions et de commerces incluant le réchauffement climatique.
Régulation au niveau des marchés financiers par l'application d'une taxe sur les placements non éthiques (établissement d'une chartre des placements éthiques et non-éthiques).
Lois anti-délocalisations abusives (délocalisations quand l'entreprise fait des bénéfices)
Lois anti-monopoles
Surtaxation exceptionnelle de produits d'importations mettant en danger le marché intérieur. Création d'un organisme de régulation et contrôle du marché économique.
La liberté de création d'entreprise, ni de commercer n'est pas remise en cause, ni l'importation, ni l'exportation simplement certaines règles logiques y sont ajoutées (économie de marché régulée) et l'argent perçues par la taxation est redonnée aux citoyens de la société par des services. Dans ce type de société également le budjet de l'état doit absolument être équilibré et ne pas être sous la domination boursière ou à crédit.
Un état autofinancé par ces citoyens et taxes diverses. Non comme actuellement à crédit, c'est à dire en fin de compte tributaire de marchés financiers et de groupements financiers. Avec une dette pensant sur les générations actuelles et futures, c'est à dire un état ayant perdu sa totale liberté financière et économique ( c'est ce qui est en train d'arriver à la société française actuellement). C'est aussi un (il y en a d'autres, voir articles sur la mondialisation et autres) des but de la mondialisation actuelle (qui est une guerre économique mondiale). Les économies de pays de ce monde complêtement sous la domination de groupes financiers et non sous le contrôle de ces citoyens par l'intermédiaire de représentants élus.
Nous sommes en train de perdre notre liberté de faire notre société à notre convenance et pour nous, à cause des pressions excercés par ces groupes...
La séparation de l'état (des politiques et élus) et de la finance et à faire.
Un état et un pays ne peut être géré comme une entreprise privée et c'est ce que font de plus en plus les chefs d'états de ce monde. Pensant gérer un pays comme une multinationale. Privé et état doivent être séparé.

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Pandinette

Message Ven 17 Avr 2009 - 0:48  Pandinette

J'aimerais vivre dans une autre société. Si la dépression nous fait changer de système, ce sera peut-être celle-là ... I love you

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