A chaque élection, de « bonnes » raisons de voter pour le PS plutôt qu’en faveur de ses idées sont présentées ; pour les présidentielles, des appels au vote « utile » sont ainsi formulés : il faudrait ne voter que socialiste.

Mais l’avancement de ses idées ne peut résulter que du soutien leur étant apporté. Et aux élections présidentielles, c’est le score du candidat qui les incarne qui est crucial.

Pour un candidat parvenu au second tour, son score au premier est certes un détail : il lui faut rassembler pour devenir président. Pour cela, il doit d’autant plus tenir compte des idées des autres candidats qu’ils ont effectué un score élevé.

De plus, le score d’un candidat est déterminant pour les élections législatives qui suivent et pour les cinq ans à venir.