actualité écologique

http://i.today.reuters.com/genImage.aspx?uri=2005-12-10T095145Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRTP-ENVIRONNEMENT-CLIMAT-RUSSIE-20051210.jpg&resize=full

ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE

Fin du cauchemar de Sauper





Ceux qui n’ont pas encore vu Le Cauchemar de Darwin en salles ni en DVD pourront le voir lundi prochain (le 24 avril) sur Arte à 20h40. Depuis le temps qu’on leur rebat les oreilles avec ce documentaire, et que la polémique fait rage, ils pourront enfin se faire une opinion par eux-mêmes. Ici même le débat a été rude. Depuis, le vent a tourné. Dans tous les sens. On connaît bien désormais le phénomène dit de « l’emballement », cette convergence de bruits autour d’une message unique rapidement véhiculé par différentes sources non connectées entre elles (les amis, la famille, les collègues, les medias). On découvre depuis peu le « contre-emballement », qui est la même chose mais dans le sens inverse. Lorsqu’on se retrouve dans l’œil du cyclone, au cœur même de cet étrange phénomène d’aller-retour, on peut se sentir un peu… « paranoïaque, c’est le mot ». Quand je le rencontre dans ce bistro parisien, Hubert Sauper se demande encore ce qui lui arrive. « Ca me dépasse… ». Sur son passeport, il est écrit « profession : universitaire » alors qu’il est cinéaste. Son Cauchemar de Darwin a remporté un immense succès international. Il a été vu par un million de spectateurs dans cinquante pays, dont 400 000 en France. Dans des salles de cinéma, ce qui est une prouesse pour un documentaire, et plus encore lors qu’on sait que sa forme et son sujet sont nettement moins démagogiques que ceux d’un Michaël Moore. Comment l’introduction de la perche du Nil dans les eaux du lac Victoria a bouleversé la vie des habitants de Mwanza, une ville tanzanienne dont la population vit en partie de la pisciculture. S’ensuit un cortège dans lequel misère, prostitution, drogue, sida et trafic d’armes mènent la danse macabre. Chose rare, le public et la critique furent unanimes dans l’enthousiasme. ...

http://passouline.blog.lemonde.fr/livres/2006/04/fin_du_cauchema.html

Rassemblement de soutien pour l’ours le samedi 3 juin 2006 à Luchon à l’appel de la Coordination Associative Pyrénéenne (CAP OURS) et des maires de Arbas, Bagnères-de-Bigorre, Burgalays et Luchon.

RDV 14H30, Parc du Casino (début de la manifestation à 15H)

Les associations membres de CAP-Ours et les maires d’Arbas, de Bagnères de Bigorre, de Burgalays et de Luchon (communes accueillant les ours) appellent à manifester en faveur de l’ours le 3 juin à Luchon.

Même si le Conseil d’Etat a donné raison à la poursuite du programme de renforcement de la population ursine dans les Pyrénées (et il manque encore 2 ours), manifestez votre soutien à l’ours afin que les seuls anti-ours et leurs exactions ne soient pas sur le devant de la scène.

Venez si vous le pouvez et faites, de toutes façon, passer l'information à un maximum de personnes.

Certains milieux d'affaire californiens reconnaissent à demi-mots la nécessité d'une régulation collective pour assurer la réussite des objectifs écologiques en matière de gaz à effet de serre.



Le Parlement de Californie approuve une loi sur les gaz à effet de serre

2006-09-01 19:36:30 cri





L'Assemblée de l'Etat de Californie a approuvé jeudi un projet de loi destiné à réduire les émissions de gaz à effet de serre au niveau de 1990 d'ici 2020, faisant de la Californie le premier Etat américain à appliquer le Protocole de Kyoto.

La loi AB 32 repose sur un accord conclu mercredi entre les Démocrates, majoritaires au parlement de Californie et le gouverneur républicain Arnold Schwarzenegger, approuvé par le Sénat mercredi soir.

"Aujourd'hui, nous prenons une mesure pour combattre la crise. Nous avons la volonté, la capacité et les solutions pour ralentir le réchauffement mondial et encourager la technologie qui peut permettre de donner du repos au monde," a annoncé le porte-parole de l'Assemblée, Fabian Nunez, co-auteur du projet.

Approuvée à 47 voix contre 31, la loi autorisera le Bureau californien des ressources en air à commencer à procéder à des mesures du taux de dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre provenant de l'industrie.

Une fois ces mesures prises, des régulateurs établiront des limites pour chaque installation et industrie à partir de 2012.

Les régulateurs auront la possibilité de renforcer ces limites grâce à des sanctions financières et des mesures incitatives. La loi créera également un nouveau marché qui permettra aux industries dont les émissions se situent au-dessous des limites de vendre des crédits aux compagnies qui ont elles dépassé ce seuil.

La quantité d'émissions correspondant à celle de l'année 1990 sera le niveau le plus élevé autorisé dans le monde entier. La Californie, 12e plus grand émetteur de carbone dans le monde en tant qu'économie indépendante, aura à diminuer ses émissions industrielles de 25% par rapport à la situation actuelle.

"Nous pouvons à présent aller dans le sens de développer le système d'économie de marché, qui fait de la Californie un leader mondial, dans le domaine des efforts pour la réduction des émissions de carbone," a déclaré M. Schwarzenegger mercredi.

"La réduction des émissions de gaz à effet de serre est un problème sur lequel nous devons jouer un rôle de premier plan," a ajouté le gouverneur, qui a placé la lutte contre le réchauffement climatique mondial au centre de la campagne pour sa réélection.

Les écologistes ont salué l'accord avec le gouverneur, qui offre à la Californie la possibilité de combattre les émissions de gaz à effet de serre. Mais des groupes du secteur des affaires ont exprimé leur inquiétude sur le fait que la nécessité de créer un système de crédit de pollution fondé sur une logique de marché ne soit pas assez forte.

Le président américain George W. Bush avait retiré les Etats-Unis du Protocole de Kyoto pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre en 2001 et avait refusé de prendre des mesures pratiques pour combattre le réchauffement climatique au niveau fédéral.

http://fr.chinabroadcast.cn/181/2006/09/01/221@109317.htm



" ... Mais des groupes du secteur des affaires ont exprimé leur inquiétude sur le fait que la nécessité de créer un système de crédit de pollution fondé sur une logique de marché ne soit pas assez forte. ... "